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A-t-on besoin d’un nouveau groupe de femmes en technologie?

Le groupe Femmes en apprentissage machine et science de données, appelé également WiMLDS, a vu le jour à Montréal le 3 décembre dernier. Pour le lancement, les organisatrices ont profité de la présence de NeurIPSdans la métropole pour lancer leur première édition, s’assurant ainsi de la participation de conférencières émérites.

À l’origine, il s’agit d’une initiative de Marina Pavlovic Rivas, fondatrice de Gradiant AI, accompagnée par deux collègues, Ghizlene Zerguini, conseillère principale chez Deloitte, et Fanny Riols, qui est scientifique en recherche appliquée chez Element AI et cofondatrice du chapitre parisien de WiMDLS.

Il existe 19 chapitres de WiMLDS dans le monde. Hormis celui de San Francisco, le chapitre de Nairobi est le plus important, comptant plus de 1800 membres. À Montréal, on en compte près de 450. Leur mission est de soutenir et de promouvoir les femmes et les minorités de genre qui travaillent ou étudient dans les champs d’application de l’apprentissage machine et des sciences de données.

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